J'avais très envie de le lire, plusieurs semaines que j'attendais qu'il soit libre à la bibliothèque. Je l'avais repéré que le blog d'Agathe, des critiques élogieuses sur Babelio... Et malheureusement, je n'ai pas accroché. Je l'ai commencé et je ne l'ai pas terminé !
Un classique de la littérature américaine, un style particulier, l'histoire atypique d'un écrivain. C'est dommage mais je n'ai été sensible à rien, je me suis accroché et puis voilà, ce livre et moi ça n'a pas collé. Je n'avais pas l'esprit à lire ce livre car j'ai dévoré un livre de littérature anglaise beaucoup plus léger. Pourtant je ne dirai pas que Le dernier stade de la soif soit pesant à lire, beaucoup d'ironie dans le roman à ce qu'il me semble.
Voici la quatrième de couverture pour se faire sa propre idée :
Avec mordant et poigne, Exley décrit les profonds échecs de sa vie professionnelle, sociale et sexuelle. Ses tentatives pour trouver sa place dans un monde inflexible le mènent aux quatre coins du pays, mais surtout à l'hôpital psychiatrique d'Avalon Valley. Au gré des bars, des boulots et des rencontres improbables, l'obsession d'Exley pour la gloire, les New York Giants et leur joueur star, Frank Gifford, grandit. Dans ses mémoires fictifs, en plongeant la tête la première dans ce « long malaise » qu'est sa vie, Frederick Exley transforme la dérive alcoolisée d'un marginal en une épopée renversante. Chargé en grande partie de ce qu'il appelle « des fardeaux du chagrin » et de catastrophes ordinaires, ce premier roman est un époustouflant voyage littéraire. C'est hilarant. C'est touchant. C'est à la fois Nabokov et Bukowski et Richard Yates et Thomas Bernhard.