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10 avril 2013 3 10 /04 /avril /2013 18:32

Je n'ai pas pu les terminer : 

Les apparences de Gillian Flynn

http://www.babelio.com/couv/CVT_Les-Apparences_4306.jpeg

J'étais très motivée pour lire ce livre, de bonnes critiques, je me suis lancée, et j'ai été déçue. Bon mon avis est partiel puisque je ne l'ai pas terminé. 

Tout commence bien, un couple américain parfait, la femme disparaît, l'enquête commence... Mon seul reproche c'est long à se mettre en place, au final j'ai décrocher très vite et je n'ai pas voulu en savoir plus.

 

L'embellie d'Audur Ava Olafsdottir

http://www.babelio.com/couv/C_LEmbellie_7173.jpeg

J'avais adoré Rosa Candida alors j'avais très envie de découvrir celui-ci.Ma lecture commencée, j'ai retrouvé cette lenteur que j'avais beaucoup aimé. Et là j'ai été coupé dans ma lecture et au moment de reprendre, je n'étais plus dedans. Je n'ai guère plus à dire, je sentais que ce road-movie en Islande allait être prometteur mais pour ce roman je ne m'avoue pas vaincue, j'essaierai de le relire. 


Dommage deux déceptions consécutives, rien de bien grave, je suis déjà happée par d'autres lectures. 

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24 février 2013 7 24 /02 /février /2013 19:45

http://ecx.images-amazon.com/images/I/41AL3YHlIaL._SL160_.jpg

 

 

J'avais très envie de le lire, plusieurs semaines que j'attendais qu'il soit libre à la bibliothèque. Je l'avais repéré que le blog d'Agathe, des critiques élogieuses sur Babelio... Et malheureusement, je n'ai pas accroché. Je l'ai commencé et je ne l'ai pas terminé !

 

Un classique de la littérature américaine, un style particulier, l'histoire atypique d'un écrivain. C'est dommage mais je n'ai été sensible à rien, je me suis accroché et puis voilà, ce livre et moi ça n'a pas collé. Je n'avais pas l'esprit à lire ce livre car j'ai dévoré un livre de littérature anglaise beaucoup plus léger. Pourtant je ne dirai pas que Le dernier stade de la soif soit pesant à lire, beaucoup d'ironie dans le roman à ce qu'il me semble.

 

Voici la quatrième de couverture pour se faire sa propre idée :

Avec mordant et poigne, Exley décrit les profonds échecs de sa vie professionnelle, sociale et sexuelle. Ses tentatives pour trouver sa place dans un monde inflexible le mènent aux quatre coins du pays, mais surtout à l'hôpital psychiatrique d'Avalon Valley. Au gré des bars, des boulots et des rencontres improbables, l'obsession d'Exley pour la gloire, les New York Giants et leur joueur star, Frank Gifford, grandit. Dans ses mémoires fictifs, en plongeant la tête la première dans ce « long malaise » qu'est sa vie, Frederick Exley transforme la dérive alcoolisée d'un marginal en une épopée renversante. Chargé en grande partie de ce qu'il appelle « des fardeaux du chagrin » et de catastrophes ordinaires, ce premier roman est un époustouflant voyage littéraire. C'est hilarant. C'est touchant. C'est à la fois Nabokov et Bukowski et Richard Yates et Thomas Bernhard.

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3 novembre 2011 4 03 /11 /novembre /2011 08:02

C'est le deuxième livre que je pe présente dans la catégorie : Je n'ai pas pu le terminer. Et pourtant il avait tout pour plaire : une quatrième de couverture qui faisait envie, des noms prestigieux au dos pour le commenter. Donc je l'ai commencé pleine de curiosité et d'envie mais voilà j'en ai arrêté la lecture. 


couv69953131

Devant ma difficulté à faire un résumé de ce livre, je crois savoir ce qui m'a manqué pour apprécier ce roman. Je n'ai pas été embarqué dans une histoire et c'est en partie pour cela que je n'ai pas continué à le lire. Au début, un homme rencontre une femme dont il tombe très amoureux, tout s'enchaîne : mariage, voyage de noces... et disparition. Pourtant je n'avais pas très envie de poursuivre la lecture. L'auteur nous propose des petits tableaux de gens louches, bizarres, de situations étranges et j'avoue que c'est assez drôle parfois. Mais cela est un peu trop décousu pour moi. 


En revanche, j'ai beaucoup aimé le style de l'auteur, des expressions familières, une écriture abrupte qui dit les choses de manière imagée, drôle. Un style que l'on reconnaît, l'auteur n'a pas du tout une écriture lisse. Rien que pour ça, il faut le découvrir. Mais j'ai eu l'impression aussi de passer à côté de quelque chose, en tout cas beaucoup de références que je n'ai pas comprises, une lecture symbolique du livre ? 


Cela n'a pas été suffisant pour le terminer. J'ai un peu tout entendu sur ce livre : encensé ou peu apprécié. Et vous l'avez-vou lu ? Qu'en avez-vous pensé ? 


Des avis différents chez : Clara et Florel


Quatrième de couverture : Emma. Un pélican à la con. Une station balnéaire aux États-Unis. Un Allemand qui tourne. Une tribu de hippies crados. Le moral dans les bottes. Une dune qui chante. Cassavetes, Kurosawa et Huey Lewis. Un pressing. Un verre de trop. Une équipe TV. Puis une autre. Richard. Love in Vain. Un requin et un marteau. Un coup de feu. Du sang sur le sable. Une Chevrolet Impala. Le bruit des vagues. L’amour à trois. L’amour tout seul. Une lettre d’amour. La vie qui continue. En moins bien.
«Cet auteur déjanté foisonne d'expressions très imagées au service d'une écriture vive.» Sébastien Chabal 

«On tourne les pages avec la simple envie de ricaner et de jubiler, de suivre ce loser splendide.» Frédéric Beigbeder 

«C'est drôle, tendrement féroce et courageux.» Mathias Malzieu
«Si Ionesco et Desproges avaient eu un fils ensemble, il l'aurait appelé Arnaud Le Guilcher !» Gérard Collard 

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30 janvier 2011 7 30 /01 /janvier /2011 16:45

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Lorsque j'ai entendu le libraire en parler, j'ai été convaincue. 

Un homme attend pour récupérer l'urne funéraire de son père dans un café, il y voit une femme. Intrigué, il la suit. Elle récupère l'urne funéraire de sa mère. Cette rencontre fulgurante se termine dans une chambre d'hôtel où la femme mélange le contenu des deux urnes. L'homme rentre chez lui et va essayer de reprendre le cours de sa vie... 

Le livre avait la promesse d'un bon road-movie : un homme qui doit reconquérir vie, découvrir qui est son père,...Je crois que c'est l'écriture qui m'a arrêtée, une certaine tension se dégage de ce livre pourtant bien écrit. Les constants retours en arrière de cet homme qui ne sait pas ce qu'il veut, ne sait pas où il en est ont eu raison de moi. 

Peut-être suis-je passée à côté de quelque chose ?

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