C'est le deuxième livre que je pe présente dans la catégorie : Je n'ai pas pu le terminer. Et pourtant il
avait tout pour plaire : une quatrième de couverture qui faisait envie, des noms prestigieux au dos pour le commenter. Donc je l'ai commencé pleine de curiosité et d'envie mais voilà j'en ai
arrêté la lecture.
Devant ma difficulté à faire un résumé de ce livre, je crois savoir ce qui m'a manqué pour apprécier ce
roman. Je n'ai pas été embarqué dans une histoire et c'est en partie pour cela que je n'ai pas continué à le lire. Au début, un homme rencontre une femme dont il tombe très amoureux, tout
s'enchaîne : mariage, voyage de noces... et disparition. Pourtant je n'avais pas très envie de poursuivre la lecture. L'auteur nous propose des petits tableaux de gens louches, bizarres, de
situations étranges et j'avoue que c'est assez drôle parfois. Mais cela est un peu trop décousu pour moi.
En revanche, j'ai beaucoup aimé le style de l'auteur, des expressions familières, une écriture
abrupte qui dit les choses de manière imagée, drôle. Un style que l'on reconnaît, l'auteur n'a pas du tout une écriture lisse. Rien que pour ça, il faut le découvrir. Mais j'ai eu l'impression
aussi de passer à côté de quelque chose, en tout cas beaucoup de références que je n'ai pas
comprises, une lecture symbolique du livre ?
Cela n'a pas été suffisant pour le terminer. J'ai un peu tout entendu sur ce livre : encensé ou peu apprécié.
Et vous l'avez-vou lu ? Qu'en avez-vous pensé ?
Des avis différents chez : Clara
et Florel
Quatrième de couverture : Emma. Un pélican à la
con. Une station balnéaire aux États-Unis. Un Allemand qui tourne. Une tribu de hippies crados. Le moral dans les bottes. Une dune qui chante. Cassavetes, Kurosawa et Huey Lewis. Un pressing. Un
verre de trop. Une équipe TV. Puis une autre. Richard. Love in Vain. Un requin et un marteau. Un coup de feu. Du sang sur le sable. Une Chevrolet Impala. Le bruit des vagues. L’amour à trois.
L’amour tout seul. Une lettre d’amour. La vie qui continue. En moins bien.
«Cet auteur
déjanté foisonne d'expressions très imagées au service d'une écriture vive.» Sébastien Chabal
«On tourne les pages avec la simple envie de ricaner et de jubiler, de suivre ce
loser splendide.» Frédéric Beigbeder
«C'est drôle, tendrement féroce et courageux.» Mathias
Malzieu
«Si Ionesco et Desproges avaient eu un fils ensemble, il l'aurait appelé Arnaud
Le Guilcher !» Gérard Collard